
Aujourd’hui nous plongeons dans les 4 mythes sur l’amour, et je vais vous démontrer pourquoi ils ne sont pas réels.
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C’est difficile
Ce sont des compromis.
Ça ne dure pas.
Ça fait souffrir.
Alors c’est vrai et faux. Si tu penses que c’est vrai, tu vas trouver des preuves de ça en continue et occulter les exemples positifs ou dire “Oui mais eux c’est normal, ils n’ont pas d’enfants“ et donc reproduire ces 3 mythe dans ta propre vie amoureuse. Tu vas rendre le processus de rencontre difficile. Comme c’est difficile ! quand tu en trouves un, tu vas faire des compromis. Quand tu en auras marre, tu vas partir et là tu souffres. Et tu vas recommencer ce cycle éternellement et ancrer ces causes à effets.
Pas par magie mais parce que tu vas développer des comportements destructeurs, qui paraissent bien évidemment : anodin
Une question plus pertinente à te poser est la suivante :
Est-ce que ça me fait du bien de penser ça ?
En fait non, ça te donne l’illusion de maitriser et c’est une protection contre cette conséquence, qui au final, te fait souffrir.
Donc l’important n’est pas d’avoir raison et de savoir si c’est vrai ou pas mais plutôt est-ce que là, j’ai envie de continuer à penser ça ?
Est-ce que j’ai envie de continuer à vivre dans un déni que j’accepte de croire encore et encore quotidiennement ?
Et que j’ancre parce que je n’ai jamais appris à penser différemment ? Je n’ai jamais appris à changer réellement une croyance avec conscience et intention.
Ce mois, nous avons largement évoqué les croyances limitantes et leurs impacte réelle.
Et on voit réellement la différence de croyances entres les membres. La plus flagrante sont les membres qui pensent que c’est facile de rencontrer quelqu’un. Elles ont une file d’hommes devant leurs portes. Celles qui pensent que c’est difficile, en rencontre 1 ou 2 par mois…
Celles qui détestent Tinder et qui y sont ne rencontres personnes et celles qui adorent en rencontrent.
Celles qui ont peur de souffrir se font ghoster, les autres pas.
Celles qui penserons qu’elles vont perdre leur liberté, ne tombe jamais amoureuse, les autres oui…
Et j’ai mille exemples comme ça.
C’est donc bien la preuve que c’est une question de croyances parce qu’elles sont toutes autant fabuleuses !
Et pour chacune, on regarde la croyance source qui cause le plus de tort.
Toutes petites ont croit ce qu’on voit et ce qu’on nous dit. Sans se questionner. Sans se demander si on a envie de croire ça ?
Prenons les relations, ce sont des compromi. Par compromis, on peut imaginer dire oui pour regarder ce film alors qu’on n’aime pas du tout. Le réel compris réside dans le fait de se forcer parce que sinon, on ne partage rien et il ne m’aimera plus. Donc forcément pour toi, c’est un compromis.
Un autre compromis pour mes mamans solos : Je dois, moi, aller chercher les enfants à l’école, alors que le vrai compromis est à nouveau, si je n’y vais pas, je ne suis pas une bonne mère et personne ne le fera.
Sauf que cette croyance que c’est toi qui dois le faire, s’est ancrée avant même que tu ne sois maman.
Ça part d’une croyance que c’est aux mamans de tout faire.
Si tu avais questionné cette croyance ou la questionner là maintenant, tu peux te dire : Bah non, il y a des hommes qui s’occupent de leurs enfants et vont les chercher et moi je vais rencontrer celui-là.
Les compromis sont une obligation envers laquelle on pense ne pas avoir le choix.
Encore ne pas aller à un repas dans sa famille de peur qu’il ne t’aime plus.
Si on va plus loin dans cette réflexion, la vie est une série de compromis. Vais-je faire ce job de rêve ou est-ce que je reste dans ce job alimentaire ? Je me lève ou je reste coucher au risque d’être en retard.
Et quand on y réfléchit vraiment, ce sont des choix. Sois-tu les faits avec conscience et légèreté, soit tu es résignée et ils sont lourds, pesant et là. Évidemment se sont des compromis ou des concessions.
Ça ne dure pas, parfois oui parfois non et est-ce que c’est réellement un problème ? Le problème n’est pas que ça ne dure ou pas, c’est toute la pression de l’échec si ça ne dure pas et l’éventuelle tristesse qui va avec. J’entends souvent les célibataires dirent “Non mais moi je pense qu’on n’est pas fait pour vivre une vie avec une seule personne“. Certains oui certains non, tout est ok. Mais c’est une jolie croyance enrobée dans un paquet cadeaux de fausse légèreté, toute mignonne qui te donne l’illusion de contrôle pour soulager le mal être d’être célibataire. Oui oui, tout comme non mais moi je suis bien célibataire. Bien sûr que tu es bien célibataire mais pas besoin de le rappeler à tout va.
Et tu occultes les couples qui dure et même si tu les vois, tu vas te dire “Non mais eux, je n’aimerais pas l’avoir pour mari lui“. Et trouver une raison soulageante pour continuer à ancrer ta croyance.
Donc forcément, ces deux croyances font la combinaison gagnante pour effectivement, vivre des relations qui ne dure pas, étant donné que tu as raison et tu gardes le contrôle.
Et complète opposition au “pour le meilleur et pour le pire que l’église nous a enseigné“.
Bien sûr qu’on ne veut pas vivre le pire mais à force de l’éviter avec tant de hargne, tu te le crée en boucle. Et aussi, il serait temps de revisiter ce qu’est le pire aujourd’hui.
Au lieu de croire “on verra bien, je suis avec lui“, dans clean dating, elles apprennent à vibrer cette légèreté qui, au final, mène à la relation qui va durer !
Et la mère des croyances mythes ; ça fait souffrir, peut-être, mais je vous garantis que les 3 mythes précédent, vous cause bien plus de souffrances cumulées sur une vie, qu’une séparation. Et surtout, ok ! On veut éviter de souffrir, normal, parce que oui, une rupture ça rend triste.
Mais ça se gère complètement.
Et si tu commençais à croire qu’au contraire l’amour c’est génial et ça donne des ailes ?
Tous ces mythes sont en réalité un moyen pour ne pas ressentir des émotions que tu n’as pas envie de ressentir et tu y es réceptive sans connaissance de toi.
Donc dans le programme, non seulement on identifie les vraies croyances limitantes, mais aussi on les change ensemble ; avec la vraie croyance qui te vas ; parce qu’elle est différente pour chacune. Et surtout, tu apprends à ressentir tes émotions et à ne plus réagir pour les éviter.
La question qui m’est souvent posée c’est mais peut-être que j’ai besoin d’individuel plutôt qu’un programme. Très légitime comme question, et ma question est la suivante : Si tu étais certaine d’avoir ton retour sur investissement et ce que tu souhaites avec le programme que je te dis, que tu me crois et que tu as 2x plus de résultats en 3 fois moins de temps. Est-ce que tu aurais toujours envie d’individuel ? Et si tu as d’autres questions, écris-moi sur “hello@fannygippa.com“